Mes 9 bonnes résolutions de « transition-écolo »
Passage obligé
après la nouvelle année, les bonnes résolutions sont incontournables… et trop
vite oubliées ? Mais cette année, promis, on s’y tient !
- Je mange des fruits et
légumes locaux et bio et de saison. Stop aux aliments qui nous viennent du bout
du monde ! Pour cela, je me renseigne et/ou j’adhère à une AMAP
(Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne).
- Sans devenir un
« en-verdeur », j’essaye de convaincre mes amis ou mes collègues de
changer leurs habitudes. Idem avec les commerçants du quartier qui
laissent leurs enseignes allumées. Etre écolo-accro, c’est « in » et
économique !
- Economies d’énergies
toujours, je fais attention chez moi : finis les bains, les robinets qui
coulent, les appareils branchés en veille ou les pièces vides éclairées.
Et surtout attention au chauffage : à 16-19° tout va bien. Chaque degré
alourdit de 7% votre facture. Quant au chauffage électrique on arrête, il coûte
encore plus économiquement et écologiquement.
- J’arrête la corvée de
supermarché. Au marché de Die , Crest ou Saillans, on se rend mieux compte de
ce dont on a vraiment besoin et les fruits et les légumes bio sont plus frais.
Et comme je ne veux plus manger n’importe quoi, je décortique les étiquettes
dans les supermarchés pour éviter le trop plein de composants chimiques et
préserver ma santé et l’environnement. Ou alors j’adopte le bio, l’équitable ou
le fait-maison, du yaourt aux cosmétiques !
- Je limite ma
consommation de viande et de poisson. D’après un rapport de la
FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture),
l’élevage est responsable de 18% des émissions de gaz à effet de serre par an.
Si la production mondiale de viande, qui a triplé en 30 ans, devrait encore
doubler d’ici à 2050, les mers, de leur côté, se dépeuplent…
- Je trie (mieux) :
moins de 30 % de nos déchets sont vraiment recyclés, contre 66 % en Allemagne.
Et par la même occasion, j’allège ma poubelle en évitant d’acheter trop souvent
des plats préparés, des objets suremballés ou de l’informatique, et en lançant
un compost (40 à 50 % des Déchets) chez moi. En gros, en faisant attention
lorsque j’achète.
- Adieu voitures et
embouteillages, je renoue avec les transports en commun ( notre ligne SNCF doit
vivre), le vélo ou le covoiturage. A l’arrivée : des économies en
assurances et en essence, plus d’activité physique et pourquoi pas de nouvelles
rencontres avec le covoiturage ?
- Sur mon balcon ou dans
mon jardin, je crée un petit potager, histoire d’avoir mes propres herbes ou
mes tomates, voire mon autonomie alimentaire.
- Je ne crois pas que la « solution
solitaire » sera assez efficace et je m’engage dans des « actions
solidaires » de Transition de la Biovallée de la Drôme comme les
Rencontres de l’Ecologie, les Amis de la
Terre, Les Compagnons de la Terre, Terre de liens, Association Dioise de
Transition Energétique ou l’Arrêt Public…(bien sûr je vais aux réunions de construction des projets... et actions civiques)
A.I.